

LE PARTAGE DU SENSIBLE
Prendre soin des humains, prendre soin de la Terre
Du mercredi 25 au dimanche 29 janvier 2023
Rendez-vous à Suza
Quatre jours durant, nous célébrons la création, les arts, la nature et le vivant.
La thématique retenue pour cette première édition est :
« Prendre soin des humains, prendre soin de la Terre».
Si l’objectif est d’activer les leviers d’une vie meilleure, les expérimentations qui seront conduites ne limitent pas leurs effets, ni leur territoire de réflexion au simple continent africain puisque les outils qui y sont forgés s’adressent au monde entier.
Nous avons élaboré un ensemble d'activités qui s’articulent autour d’un dialogue transversal entre approches scientifique et esthétique.
Nous allons penser notre manière d’habiter le monde à partir de Suza, c’est-à-dire d’en reconnaître à la fois le caractère local (avec ses spécificités) et la dimension planétaire.
Les activités s'inscrivent dans le temps de la manifestation et dans l'espace de Grand Suza. Seront réunis à la Fabrique de Suza et en d’autres lieux du village, des penseurs, des créateurs, des scientifiques, des chercheurs, des philosophes, des artistes, des acteurs sociaux... d’Afrique, d’Amérique du Sud et d’Europe.
Une initiative de la Fondation MAM et d’Agir pour le vivant.



Le programme


Penser le vivant
Huit débats pour aborder les questions du patrimoine thérapeutique traditionnel, de la mémoire, des problématiques liées à la préservation et à la défense de l’environnement, de la transmission des savoirs, des leçons du vivant ...

MERCREDI 25 JANVIER
19h30-21h00
Stade de Grand Suza et Fabrique de Suza
Soirée d’ouverture : Prendre soin des humains et de la Terre
Marème Malong (Directrice de la Fondation MAM), Françoise Nyssen (Ancienne Ministre de la Culture, Présidente d’Actes Sud)
Leçon inaugurale de Felwine Sarr
JEUDI 26 JANVIER
6h30-9h30
La Fabrique de Suza
Balade “Marche du temps profond”
Tarik ChekChak, ingénieur écologue
Marche au rythme de la Terre, 4,6km pour comprendre l’évolution de notre planète. Cette marche dans l’histoire de notre planète Terre, imaginée par Tarik Chekchak, mène de l’apparition de la lune à la formation des océans et de l’atmosphère, de l’émergence de la vie des bactéries aux organismes multicellulaires, puis de l’humanité et de ses révolutions industrielles. Il souhaite que l’on puisse s’affranchir des chiffres abstraits (il s’agit de milliards d’années) pour ressentir par la marche, dans le corps comme en esprit, un temps profond au cœur de l’aventure du vivant sur notre belle planète.
15h00-16h30
Grand Suza
Défendre la nature s’oppose-t-il au développement et au bien-être des populations ?
À quelles conditions préserver l’environnement ? Cela s’oppose-t-il au développement ? En Afrique, au XXe siècle, la défense de l’environnement a reposé sur un imaginaire colonial et s’est très souvent faite au détriment des populations locales, voire contre elles, engendrant des situations de tensions extrêmes, nées d’un « colonialisme vert » (Guillaume Blanc). Aujourd’hui, comment décoloniser l’écologie et faire en sorte que les politiques environnementales ne perpétuent pas l’exploitation d’un monde au profit d’un autre alors que les pays du Nord envisagent, par exemple, de développer des énergies et une économie dites vertes en exploitant les ressources des pays du Sud, dont le lithium nécessaire aux véhicules électriques. Comment imaginer une écologie qui prenne en charge autant la protection des écosystèmes que le bien-être des populations humaines, sans exclusivité ? Et est-il possible de concilier écologie et développement ?
Avec : Rozenn Nakanabo Diallo chercheuse en science politique, spécialiste des politiques de conservation (en viso), Suspense Averti Ifo écologue, Jacques Jonathan Nyemb, avocat, Venant Messe, activiste camerounais, défenseur des peuples Aka et Baka
Modération : Anne-Cécile Bras journaliste
VENDREDI 27 JANVIER
15h00-16h30
Grand Suza
Les leçons du vivant
La crise climatique et écologique sans précédent à laquelle nous devons faire face nous contraint à repenser nos manières d’habiter la Terre. Et si nous en profitions pour inverser les regards et apprendre des non humains ? Quelles sont les leçons du vivant et comment les traduire dans nos modèles sociétaux ? Du biomimétisme au spirituel, quel type de relations souhaitons-nous entretenir avec le vivant ?
Avec : Tarik Chekchak ingénieur écologue, spécialiste du biomimétisme, Hugo Jamioy poète colombien, Hervé Yamguen, poète Modération : Severine Kodjo-Grandvaux
Traduction : Catalina Mesa
SAMEDI 28 JANVIER
15h00-16h30
Grand Suza
Faire mémoire : prendre soin des morts, prendre soin des vivants
Paul Ricoeur disait que faire mémoire, c’était prendre soin des vivants. Comment par le processus de mémoire, en honorant les disparus, prenons-nous soin de ceux qui restent ? Comment après des tragédies, le travail de mémoire permet aux survivants de continuer à vivre et de se reconstruire ? Quelles stratégies les sociétés mettent-elles en place pour accompagner les individus dans leur processus de deuil et quel rapport à la mort tissent-elles ?
Avec : Carole Karemera comédienne rwandaise, Ishyo Art Center, Pierre Madelin auteur de La Terre, les corps, la mort (en visio), Jean-Marie Teno, réalisateur, Suzanne Furniss, ethnomusicologue
Modération : Severine Kodjo-Grandvaux
DIMANCHE 29 JANVIER
15h00-16h30
Grand Suza
Les laboratoires du vivant
Face aux différentes crises auxquelles nous sommes tou·tes confronté·e·s, de nombreuses initiatives locales inventent de nouvelles modalités d’habiter le monde, en alliant science et tradition, savoirs théoriques et connaissances pratiques issues des milieux. Ces laboratoires du vivant n’entendent pas trouver « la » solution mais proposent « des » solutions concrètes à des problèmes particuliers. Et ce faisant, réinventent les pratiques démocratiques et dessinent un monde pluriversel.
Avec : Catalina Mesa réalisatrice et activiste, Fadel Barro cofondateur du mouvement Y’en a marre et fondateur du Mouvement Jammi Gox Yi - la paix des territoires, Adam Dicko, militante pour la démocratie, l’égalité et la jeunesse, Un représentant de la Fabrique de Souza
Modération : Mamba Souare

17h30-19h00
Grand Suza
Pour des sociétés du bien-être
Le monde moderne s’est construit sur la notion de progrès puis de développement, qui a conduit à l’édification d’une société industrielle responsable de la destruction des écosystèmes et de la sixième extinction de masse en cours. Mais aussi des savoirs vernaculaires et des cultures et des peuples qui les portaient. Si l’urgence écologique nous invite à questionner ce modèle, quels contre-modèles inventer ? Comment parvenir à élaborer des sociétés écologiques où il fait bon vivre ?
Avec : Felwine Sarr écrivain, économiste, Alberto Acosta chercheur équatorien, auteur du buen vivir, président de l’Assemblée constituante (en visio), Olivia Rutazibwa chercheuse rwando-belge en science politique
Modération : Severine Kodjo-Grandvaux
Traduction : Catalina Mesa
17h30-19h00
Grand Suza
Faire communauté avec le vivant
Quelles communautés des vivants voulons-nous ?
Dans la prolongation de la table ronde sur « les leçons du vivant », nous nous interrogerons sur les différentes relations que nous pouvons tisser avec les non-humains et sur les différentes manières dont nous pouvons bâtir un monde de co-présence. Comment différents peuples d’Afrique, d’Amérique mais aussi d’Europe prennent-ils en considération les non-humains dans leur quotidien et leurs manières de faire monde ? Comment habiter la Terre en vivant afin de « retarder la fin du monde » (Ailton Krenak) ?
Avec : Séverine Kodjo-Grandvaux journaliste et philosophe, Diego Landivar anthropologue, Achille Mbembe historien
Modération : Mamba Souare
17h30-19h00
Grand Suza
Colonisation et mémoire des plantes
Depuis 1492, les Européens se sont appropriés en Amérique latine et en Afrique d’innombrables plantes médicinales lors des conquêtes coloniales auxquelles ont collaboré des savants. Les expéditions dites scientifiques ont été l’occasion de collecter des savoirs mais aussi d’instaurer une hiérarchie entre la science et des connaissances qualifiées de magiques. Aujourd’hui que reste-t-il des connaissances indigènes ? que sont-elles devenues ? comment revaloriser ces savoirs et en retrouver la mémoire ? en quoi l’usage de ces plantes est-il toujours d’actualité ?
Avec : Parfait Akana anthropologue, Eric Ngansop herbier national du Cameroun, Samir Boumediene chercheur au CNRS en histoire, Hugo Jamioy, poète colombien
Modération : Anne-Cécile Bras journaliste
17h30-19h00
Grand Suza
Urbanisme, communs et défis climatiques
Quels sont les principaux défis liés au réchauffement climatique pour les villes africaines ? Comment y répondre et développer un urbanisme et une architecture qui puisent dans les matériaux et les techniques locales ? Mais également comment repenser l’urbanisme de villes qui ont été d’anciennes capitales coloniales construites sur une organisation de la ville qui séparaient les quartiers ? Comment recréer du lien et du commun ? Repenser les mobilités et les accès ? le partage des espaces et des biens communs ?
Avec : Diego Landivar anthropologue, Cheikh Bâ chercheur en sciences politiques, Danièle Diwouta Kotto architecte, Jean-Marie Teno, réalisateur
Modération : Mamba Souare

La Fabrique
Réunir les acteurs du territoire ; les entreprises et les citoyens pour faire émerger de nouvelles méthodologies d’actions pour le vivant en multipliant les temps de travail et d’expérimentations.
Une contribution à la recherche des moyens d’agir associant expériences scientifiques et artistiques.

RÉSIDENCES
Vers de nouveaux desseins écologiques
9h00-13h00 du jeudi 26 au samedi 28, 9h-11h30 le dimanche 29 janvier
Grand Suza et Fabrique de Suza
Un cycle de résidences en partenariat avec la Fondation MAM (Cameroun) et Comfama (Colombie), piloté par Séverine Kodjo Grandvaux
Cette résidence menée par la philosophe et journaliste Séverine Kodjo-Grandvaux s’inscrit dans la continuité des travaux entamés lors d’Agir pour le vivant à Medellín en mai 2022 et poursuivis du 22 au 27 août pendant Agir pour le vivant à Arles.
Elle réunit des penseurs, philosophes, scientifiques, écrivains, tradipraticiens, économistes, artistes… d’Afrique, d’Amérique du Sud et d’Europe afin de repenser ensemble de manière enthousiasmante nos façons d’habiter le monde et de dessiner de nouvelles utopies écologiques émancipatrices. Il s’agit de voir comment l’écologie peut être un moteur de futurs désirables, une matrice qui relie ensemble les différentes générations et qui aide à construire un monde fait de différents mondes, où chacune et chacun est reconnu dans ses pleines potentialités.
Participants à la résidence :
Felwine Sarr (économiste – Sénégal), Parfait Akana (anthropologue – Cameroun), Diego Landivar (économiste, Bolivie), Hugo Jamioy (poète – Colombie), Carole Karemera (comédienne – Rwanda), Tarik Chekchak (ingénieur écologue – Algérie-France), Chourouk Hriech (artiste – France-Maroc), Julian Dupont, Clara Melniczuk, Olivia Rutazibwa, Cheikh Ba.
Démocratie et vivant
9h00-13h00 du jeudi 26 au dimanche 29 janvier
Grand Suza et Fabrique de Suza
Un cycle de résidences en partenariat avec le campus de l’Agence Française de Développement,
inspiré et coordonné par Achille Mbembe
Cette résidence a été lancée dans le cadre d’Agir pour le vivant #3 à Arles avec la contribution de Mathieu Potte Bonneville, philosophe, directeur de la parole au centre Pompidou.
La protection des Hommes et du Vivant découle inévitablement de la vitalité de la démocratie, entendue comme système qui permet aux individus et aux collectifs de retrouver un désir, une voix et une capacité d’agir. C’est par cette démocratie vivante, créatrice de pensée et de désir, ancrée dans des territoires, nourrie par des expériences endogènes, que les lignes bougeront en faveur d’un accès égal aux moyens d’existence et aux moyens d’expression, d’une protection du vivant et d’une production de bien commun.
L’activisme est une des formes de démocratie vivante qui prend aujourd’hui de l’ampleur, notamment dans le domaine de la protection du vivant. En effet, que ce soit en Afrique, en Europe ou encore en Amérique du Sud, les combats en faveur du climat et du vivant se multiplient. Cet activisme est à protéger, à accompagner, comme levier de réinvention de la démocratie.
C’est dans cette perspective que la résidence Démocratie et Vivant a pris racine à Arles en août 2022 et vise aujourd’hui à Suza à faire dialoguer les perspectives africaines, européennes et sud-américaines sur ces questions fondamentales et la nécessité de construire de nouveaux desseins politiques.
Participants à la résidence :
Christian Vanizette (co-fondateur de make sense), Adam Dicko (militante pour la démocratie, l’égalité et la jeunesse, Fadel Barro (cofondateur du mouvement Y’en a marre et fondateur du Mouvement Jammi Gox Yi - la paix des territoires), Suspense Averti Ifo (chercheur en écologie tropicale), Catalina Mesa (réalisatrice, photographe, activiste écologique franco-Colombienne), Achille Mbembe (philosophe), Venant Messe (association de défense des Bakas),, Mamba Souaré (entrepreneur et militant d'économie sociale et solidaire, co.fondateur de makesense Africa et du Consortium Jeunesse Sénégal), Philippe Nanga (association Monde d’Avenir), Kestia Passou (défenseur de la jeunesse UNICEF et jeune ambassadeur pour la cause climatique et environnementale).
Présentation du programme de résidences 2023-2024
jeudi 26 janvier de 21h à 22h
Fabrique de Suza
Présentation des séquences du programme des résidences Suza Creative. Des artistes et créateurs de la scène internationale et camerounaise qui participent à ce programme de résidences partageront en zoom ou en présentiel sous la forme d'une conférence-exposition les lignes fortes de leurs projets.
Artistes présentés: Annemie Maes, chercheuse-plasticienne (Belgique), Hervé Yamguen, plasticien-poète (Cameroun), Parme Baratier, plasticien-papetier (France), Marcos Lora Read, plasticien (République Dominicaine), David Damoison, photographe-plasticien, (Martinique-France), Manuel Camargo, plasticien, (Chili), Luc Tuymans, plasticien, (Belgique) Philippe Aguirre, plasticien, (Belgique).


ATELIERS ET CRÉATION
Présentation des ateliers d'écriture
Vendredi 27 janvier de 9h30 à 10h30
Fabrique de Suza
Hemley Boum romancière, poétesse, essayiste et Anne-Sophie Stefanini romancière et éditrice nous présentent une heure durant en compagnie des jeunes aspirants écrivain(e)s, les fruits des ateliers littéraires qui se tiennent à la Fondation MAM à Suza chaque mois d’octobre. Nous aurons la visite d’Ernis qui a participé à ces ateliers et a remporté le prix RFI Voix d’Afrique 2022 pour son premier roman « Comme une reine ».
Ces ateliers d’écriture pensés comme un stage d’écriture et de vie en commun, sont à la fois une expérience pédagogique et poétique et un temps d’échange en relation avec la nature et le vivant. L’idée est d’offrir à de jeunes écrivain(e)s en herbe, des conseils, des techniques, un éclairage, d’aider chacune, chacun d’eux, à trouver et à enrichir sa voix.
Bibliothèque sonore et visuelle des savoirs et des pratiques écologiques dans les territoires, une démarche dans la durée de création de podcasts, vidéo, expositions….
Jeudi 26 au dimanche 29 janvier, toute la journée
Grand Suza et Fabrique de Suza
Coordonné par Parfait Akana, sociologue et anthropologue
La série de podcasts qui sera réalisée constitue une étape du développement des activités de la Fabrique de Suza et correspond, non seulement à sa philosophie, mais aussi à son agenda intellectuel et citoyen. En effet, il s’agit de collecter de manière critique un large éventail de données socioculturelles et écologiques sur le vivant ; d’en montrer, dans la perspective d’une cartographie du territoire et des terroirs de Suza, les défis qui sont à la fois d’ordre socio-économique, politique et patrimonial.
Plateau radio RFI
Jeudi 26 au dimanche 29 janvier, toute la journée
Fabrique de Suza
Piloté par Anne-Cécile Bras, journaliste chez RFI

Célébrer le vivant
Favoriser l’émergence de nouveaux imaginaires et de nouveaux formats afin de sensibiliser le plus grand nombre et notamment en mobilisant des artistes, auteurs, étudiants, activistes et les voix qui renouvellent les approches sur ces sujets.
DU JEUDI 26 AU
DIMANCHE 29 JANVIER
11h00-18h00
Grand Suza
Interventions In-situ d'artistes
Des artistes de la scène camerounaise sont invités à intervenir de façon ponctuelle sur le territoire de Grand Suza.
Artistes présents : Hemley Boum (France), Philip Aguirre (Belgique), David Damoison (France)
SAMEDI 28 JANVIER
19h30-22h00
Stade de Grand Suza et Fabrique de Suza
Grand banquet et soirée de clôture
Théâtre
« Suza, théâtre de la vie », sous la direction d’une écrivaine : Hemley Boum. Il s’agit de présenter le projet de ce spectacle vivant pensé, créé, mis en scène et joué avec, par et grâce aux populations de Suza. Une performance artistique inclusive au cours de laquelle le village se raconte.
Lecture et poésie
Une soirée poésie – lecture de textes avec Hervé Yamguen, Hugo Jamioy, Marc Alexandre Oho Bambe, Natasha Kanapé Fontaine…
Musique et danse
Nous avons choisi de rendre un hommage aux musiques et aux danses de tradition Abo autour de la figure tutélaire du grand maître de “l'Ambass-Bay” Sallé John, musicien (Cameroun). Concert et spectacle de danse.
Toute la journée, banquet à 19h00
Stade de Grand Suza
Cuisine et gastronomie, “Farm to table”
La Fondation MAM envisage la culture dans le sens exhaustif du terme.
C'est dans cette perspective que se projette le programme Farm to Table (de la ferme à la table) sera décliné sous la forme de moments culinaires promouvant des produits sains et locaux issus d'une agriculture biologique respectueuse de l’environnement et qui se clôturera par un grand banquet dont la préparation et le menu seront conçus et présentés par les habitants de Grand Suza.
Une plateforme d’échanges avec des chefs cuisiniers de renom du Cameroun et d’ailleurs sera mise en place afin de partager leurs connaissances respectives en matière d’art culinaire, de révéler la richesse des épices et des condiments du Cameroun et enfin de sublimer les recettes culinaires ancestrales (sujet de thèse de l’une des doctorantes présente à la Fondation).
Le programme d’ateliers culinaires pilotés par des chefs professionnels du Cameroun et d’ailleurs sera présenté, ainsi que celui des formations en agrobiologie.
VENDREDI 27 ET
SAMEDI 28 JANVIER
18h00-20h00
Stade de Grand Suza
Soirées projection et débat
Agir pour le vivant souhaite contribuer à l’émergence de nouveaux imaginaires et de nouveaux formats afin de sensibiliser le plus grand nombre et notamment en mobilisant des artistes, auteurs, étudiants, activistes et les voix qui renouvellent les approches sur ces sujets.Concrètement, la programmation propose des temps sensibles durant Agir pour le vivant Suza’s Manifest avec une programmation jeune public, les soirées Agir pour le vivant – Suza Manifesta (poésie, théâtre) et des projections de films.
Vendredi
Une programmation jeune public est prévue : projection du dessin animé Bee Movie, suivie d’une discussion autour des droits du vivant.
Samedi
Une sélection de films autour des questions de l'écologie, de la Nature et du Vivant sera projetée en plein air au centre du village. (film à confirmer)
